les naineries des hommes en vert

Un truc bien méchant, quoi.

Pour rester dans le registre, il aurait fallu dire "chan mé"...

Vous êtes fous

je viens de rentrer dans la 4e dimension : figurez-vous que je ne me rappelle pas avoir écrit ce qui précède

interdit de dire que c'est Alzheimer qui commence, j'ai comme la vague (mais même pas nette) impression que :
1. on me fait une blague, que le coupable se dénonce!!
2. une partie du message original a disparu...

et le deuxième effet kiss kool : ça me perturbe tellement, que je ne sais plus ce que j'avais voulu raconter ici!! Et je n'ai pas bu!!

Oulà, mais c'est moi qui a écrit ça ! Pourtant je ne me connecte jamais sur le compte des autres, fut-elle notre bidel.

Je crois que le forum nous a fait un beugue...

mais alors, où est passé ce que j'avais écrit ?????? je ne m'en souviens plus, de ce que j'avais écrit, en plus, et c'était pour vous faire rire!!!

Oh mais quel c** ! Je viens de tilter ! En fait, j'ai voulu faire une citation et je me suis sans aucun doute gourré de bouton. Sans faire gaffe, j'ai édité ton message. Effectivement, je me souviens avoir bien rigolé, même si je ne me souviens pas de ce qui y était marqué.

Paye ton bouleeeeeeeeeeettttttttt !!!!!!!!!

Dans la série "apprenons à parler comme un militaire", voici la première leçon.

Comme toutes les corporations, les militaires possèdent un jargon qui leur est propre : il peut paraître obscur voire complexe à un novice.
Toutefois, ce langage, assez codifié, possède des règles assez simples, ainsi qu'un vocabulaire particulier, dont nous allons essayer d'apprendre les bases.
Pour se perfectionner, il faudra se référer au "TTA" qui constitue la bible du militaire. Enfin, il est conseillé de faire un stage linguistique pour s'immerger totalement dasn la langue et la culture militaire. En effet, ce langage est uniquement parlé, il n'est que rarement transcrit par écrit.

SYNTAXE

La syntaxe du langage militaire est aussi sommaire que rigoureuse : il faut s'exprimer par des phrases les plus courtes possibles, avec le minimum de fioritures : sujet + verbe + COD au maximum ; il est même conseillé d'omettre le verbe.

Exemple : "Schwartz, compte-rendu!" signifie "Elève Officer de Réserve Schwartz, suite à la perte de matériel militaire, vous me ferez un compterendu écrit pour demain sans faute".

Ce souci de concision peut aller jusqu'à l'uilisation d'interjections, voire de sons monosyllabiques, pour remplacer des phrases entières :
"Vouuus!" : garde à vous
"Poooo!" : repos
"aye aye" : accélérer
"Ope" : un ; s'uilise uniquement dans l'expression "ope dé" qui veut dire "un deux".

Plutôt que de faire des phrases longues avec des subordonnées, il faut utiliser des appositions successives : on peut par exemple utiliser "à l'issu" pour relier des phrases entre elles. Cela permet de n'utiliser qu'un seul verbe pour plusieurs actions.
Exemple : "Vous irez chercher vos Famas, à l'issue exercice de tir, à l'issue réincorporation, à l'issue repas".

Voilà. La prochaine fois, nous aborderons les expressions et idiotismes.

Trop drôle Pascale !! Je suis bidonnée et vois conrêtement ce que ça fait !!

Excellent ! Je m'en reservirais ^^

oui, c'est un peu l'idée, en fait. A quoi ça sert d'apprendre une langue si c'est pour ne pas pratiquer...bon, là, j'ai une envie furieuse de déraper, mais on va encore me dire que 1. j'ai l'esprit malplacé, 2. que j'ai de mauvaises fréquentations (vertes) qui ont bien sûr une mauvaise influence sur moi.
Bref! Reprenons.

Dans la série "apprenons à parler comme un militaire", leçon n° 2.

EXPRESSIONS ET IDIOTISMES

Les expressions qu'utilise un militaire sont généralement celles que ses supérieurs ont sélectionnées pour lui :

en dotation : qu'on a
perception, réintégration : aller chercher, rendre
à l'imitation : toujours faire pareil que son chef
qui va bien : à rajouter après un nom propre que l'on désire mettre en valeur
rapport à : au sujet de

Dans tous les cas, ces expressions se doivent d'être les plus imagées possibles :

"Sortez-vous les doigts du cul!" (plus couramment SVDC) : bougez-vous
"pêchu" : motivé, ou on risque d'en baver
"c'est la fête du slip" : c'est le bordel
"museau" : la ferme

Les insultes : le militaire en utilise beaucoup. Il serait impossible de les retranscrire toutes ici. Cependant certaines reviennent assez fréquemment :

"tarlouse" (la 12, c'est des...), blaireau, beatnik....

Voilà qui conclut la leçon de ce jour. Au prochain épisode, nous aborderons l'épineux problème des acronymes.

Pensez à bien apprendre vos leçons, car bientôt y aura interro.

Oui madame !

Dans les insultes, tu as oublié "Pink Floyd" aussi, ça va avec "Beatnik" ^^

j'ai rien oublié, j'ai mis des points de suspension!

Au temps pour moi.

Votre patience est enfin récompensée, car voici enfin la leçon n°3 de notre maintenant fameuse et bientôt célèbre série "apprenons à parler comme un militaire".

ACRONYMES

Le militaire a l'habitude d'utiliser un grand nombre d'acronymes pour remplacer des expressions compliquées (comprenez plus de 3 mots) qui le plus souvent désignent une réalité simple que l'on désignerait dans le civil en un seul mot.
Ce procédé a donc surtout pour utilité de rendre une conversation entre militaires impossible à comprendre pour un civil non entraîné. En voici quelques exemples :

P.M.F. : Personnel Militaire Féminin = une femme
V.L. : Véhicule Léger = une voiture
V.T.L.R. : Véhicule de Transport Léger Rural = une brouette
A.N.P.V.P. : Appareil Normal de Protection à Visière Panoramique = un masque à gaz
I.A.L. : Interface d'Alimentation Liquide = une paille
B.A.B. : Bouchon Anti Bruit = des boules Quiès
T.I.G. : Travaux d'Intérêt Général = le ménage et les corvées
E.V.A.T. : Engagé Volontaire de l'Armée de Terre = un engagé (existe-t-il des engagés involontaires ??!)
R.C.I.R. : Ration de Combat Individuelle Réchauffable = une ration

Sans oublier les nombreux acronymes désignant des organismes de l'armée :
D.F.G. : Direction de la Formation Générale
D.G.F. : Direction Générale à la Formation
etc...

Certains acronymes correspondent à des moyens mnémotechniques mais qui ensuite deviennent des noms à part entière :
P.I.F. : Point à atteindre-Itinéraire-Formation = "Donnez-moi un PIF!"

Ce qui conclut la leçon du jour, la prochaine traitera (préparez-vous) des figures de style. Si, si. Interdiction de renarder.

Les figures de style, donc, sont le thème de la leçon du jour, tirée de l'incontournable série que le monde nous envie, "apprenons à parler comme un militaire".

FIGURES DE STYLE

Contrairement à ce que l'on pourrait penser, le militaire utilise beaucoup de figures de style. En voici quelques exemples :

métonymies :

l'ordinaire = la cantine (parce que ce qu'on y mange est vraiment ordinaire
T.D.F. : Terre De France (désigne la tenue de cette couleur)
O.S. : ordre serré (sauf le matin 6h00). Tapez le talon gauche.

"Quand les talons claquent, l'esprit s'envole" Général de Gaulle

périphrases :

le territoire national : la France
Séance d'assouplissement des membres supérieurs : des pompes

euphémismes :

opérationnel : encore en état de combattre pendant quelques heures

Voilà, il ne nous reste qu'une leçon à aborder avant l'interro dont je vous ai parlé il y a quelques jours. Cette dernière leçon portera sur le vocabulaire, leçon importante s'il en est!!

Pour l'ordinaire : c'est vrai, malheuresement.

dans notre excccccelllllentisssime série, "apprenons à parler comme un militaire " (oui, je sais, ça fait un peu trop, mais si on ne s'envoie pas des fleurs à soi-même, de temps en temps, qui le fera ? Non pas que je vous demande de me congratuler, hein, j'ai déjà assez à faire avec un de mes élèves qui trouve judicieux de me passer la brosse à reluire à chaque fois qu'il le peut...pauvre fou, ou peut-être devrais-je dire, pauvre inconscient...mais je trouve que le forum est un peu mou en ce moment. Oui, oui, Clau' est à St Mathieu à surveiller si les grosses bêtes grises de la 32F vont bien sauver les marins, Alex est bien occupé par ailleurs aussi, mais je me sens un peu seule - heureusement, de temps en temps, un petit message de Dunkerque, un autre de Paris, notre Prez qui revient...Bon, la seconde pleurnicharde est finie, revenons à nos moutons. Oh, pardon, à notre leçon.)

Or doncques, comme promis il y a quelques jours, voici la dernière leçon avant le test de validation.

VOCABULAIRE

les verbes

chouffer = surveiller
se poster : se planquer dans les bois sous la pluie avec au moins un genou à terre (vous me permettrez cet apparté : j'en connais qui depuis hier soir, commencent à maîtriser cette action de base que nous mettrons nous-même en pratique lors d'un futur exercice DAOEX 07, qui, je le sens, ne saurait tarder à se faire rebaptiser DAOEX 08....)
grailler : au départ approvisionner son chargeur ; par extension, manger
psychoter = hésiter

les noms

les bastos : les munitions
les kékés : les fourrés
un consultant : un malade
un exempté : un malade ou un blessé
une permission : des vacances
la cohésion : l'esprit de groupe
la popote : le repas

les mots à éviter

ce à quoi le débutant doit faire le plus attention, car il est facile de se tromper.

"Excusez-moi", "pardon" : on ne s'excuse jamais dans l'armée. Au cas où, utiliser "autant pour moi"
"pourquoi" : ce mot n'existe pas, oubliez-le
"réfléchir" : à utiliser avec modération, car "réfléchir, c'est désobéir"
"logique" : notion inexistante
"informer" : à utiliser verrs ses subordonnés, sinon utiliser "rendre compte"
"OK" : reçu

Voilà, les leçons, c'est fini. Il ne vous reste plus qu'à les apprendre!!

Je ferais des fiches pour aprendre tout ça, quand j'aurais trente secondes. <- y'en a pas un avec des grosses lunettes pour faire premier d'la classe, damned !

Alors, après ces quelques jours d'absence du forum pour cause de travail (si, si, c'est possible, c'est que j'ai un métier, moi...), voici donc l'exercice d'évaluation qui marque la fin des cours consacrés à notre fameuse série "apprenons à parler comme un militaire".

Votre mission, et vous êtes obligés de l'accepter sinon ce message s'autodétruira 5 secondes après avoir été lu, consistera à traduire le texte suivant dans le langage militaire. L'usage d'un dictionnaire est autorisé.
Durée de l'épreuve : euh.....bon, je vous laisse un délai, disons dernier carat le 31 décembre ?

Allez, c'est parti.

LE PETIT CHAPERON ROUGE

Il était une fois une petite fille de village. Sa mère lui avait fait un petit chaperon rouge, qui lui seyait si bien que partout on l'appelait le petit chaperon rouge.
Un jour sa mère lui ayant préparé des galettes lui dit :
"Va voir comment se porte ta grand-mère ; porte-lui une galette et ce petit pot de beurre."
Le petit chaperon rouge partit aussitôt pour aller chez sa grand-mèren qui demeurait dans un bois.
Elle rencontra compère le loup, qui eut bien envie de la manger ; mais il n'osa pas, à cause de quelques bûcherons qui étaient dans la forêt. Il lui demanda où elle allait.
La pauvre enfant, qui ne savait pas qu'il était dangereux de s'arrêter écouter un loup, lui dit :
"Je vais voir ma grand-mère, et lui porter une galette avec un petit pot de beurre que ma mère lui envoie.
- Demeure-t-elle loin ? lui demande le loup.
- Oh oui, dit le petit chaperon rouge. C'est par-delà le moulin que vous voyez là-bas, à la première maison du village.
- Eh bien, dit le loup, je veux aller voir aussi. Je m'y rends par ce chemin-ci, et toi par ce chemin-là, et nous verrons qui le plus tôt y sera."
Le loup se mit à courir de toute sa force par le chemin le plus court, et la petite fille s'en alla par le chemin le plus long, s'amusant à cueillir des fleurs et à courir après les papillons.
Le loup ne fut pas long à arriver à la maison de la grand-mère ; il frappe : TOC TOC
"Qui va là ?
- C'est le petit chaperon rouge, dit le loup en contrefaisant sa voix, qui vous apporte une galette et un petit pot de beurre."
La bonne grand-mère, qui était dans son lit parce qu'elle se trouvait un peu mal, lui cria :
"Tire la chevillette, et la bobinette cherra."
Le loup tira la chevillette, et la porte s'ouvrit. Il se jeta sur la bonne femme et la dévora. Ensuite, il ferma la porte et alla se coucher dans le lit de la mère-grand en attendant le petit chaperon rouge, qui quelques temps après, vint heurter la porte : TOC TOC
"Qui va là ? dit le loup en essayant d'adoucir un peu sa voix.
- C'est le petit chaperon rouge : je vous apporte une galette et un petit pot de beurre."
Le loup lui cria :
"Tire la chevilletten et la bobinette cherra."
Le petit chaperon rouge tira la chevillette et entra.
Se penchant sur le lit de sa grand-mère pour lui parler, elle lui dit :
"Ma mère-grand, que vous avez de grands bras!
- C'est pour mieux t'embrasser, mon enfant.
- Ma mère-grand, que vous avez de grandes jambes!
- C'est pour mieux courir, mon enfant.
- Ma mère-grand, que vous avez de grands yeux!
- C'est pour mieux te voir, mon enfant.
- Ma mère-grand, que vous avez de grandes dents!
- C'est pour mieux te manger, mon enfant!"
En disant ces mots, ce méchant loup se jeta sur le petit chaperon rouge, et la mangea, car il n'avait rien mangé depuis 10 jours.
Moralité : les jeunes enfants font très mal d'écouter toutes sortes de gens, car qui ne sait que ces loups doucereux, de tous les loups sont les plus dangereux.

Voilà, maintenant, à vous de jouer!!

J'ai une version à te proposer, mon colonel. La voici :

Citation :

LE PETIT CHAPERON ROUGE

Il était une fois une petite fille de village. Elle avait un petit chaperon rouge qui va bien en dotation avec sa mère, du coup, on l'appelait le petit chaperon rouge à l’imitation, rapport a son petit chaperon rouge.
Un jour sa mère lui ayant préparé l’ordinaire lui dit :
"Sors toi les doigts du cul et va voir si la vieille est toujours opérationnelle ; Envoie lui la popotte en dotation."
Le petit chaperon rouge partit aussitôt, sa mère lui ayant donné un PIF pour aller chez sa grand-mère qu’avait un bâtiment dans les kékés.
Elle rencontra compère le loup, posté dans les bois à chouffer un truc à grailler ; mais il n'osa pas, à cause de quelques bûcherons qui étaient dans la forêt. Il lui demanda son PIF.
La pauvre enfant, qui ne savait pas que c’était péchu de s'arrêter écouter un loup, lui dit :
"Je vais voir ma grand-mère, et lui porter une RCIR qui va bien que ma mère lui envoie en dotation.
- C’est ou qu’elle crèche ? lui demande le loup.
- Reçu, dit le petit chaperon rouge. C'est par-delà le moulin que vous voyez là-bas, à la première maison du village.
- Eh bien, dit le loup, je veux aller voir aussi. Je m'y rends par ce chemin-ci, et toi par ce chemin-là, et nous verrons qui le plus tôt y sera."
Le loup se mit à khrappahuter dans les kékés, et la petite fille s'en alla par le chemin le plus long, par ou c’est la fête du slip.
Le loup ne fut pas long à arriver au bâtiment de la grand-mère ; il frappe : TOC TOC
"Qui va là ?
- C'est le petit chaperon rouge, dit le loup en contrefaisant sa voix, qui vous apporte la popotte. »
La bonne grand-mère, qui était à la caille parce qu'elle était exemptée, lui cria :
"Tire la chevillette, et la bobinette cherra."
Le loup tira la chevillette, et la porte s'ouvrit. Il se jeta sur la PMF et la dévora. Ensuite, il ferma la porte et alla se coucher dans le lit de la mère-grand en attendant le petit chaperon rouge, qui quelques temps après, vint heurter la porte : TOC TOC
"Qui va là ? dit le loup en essayant d'adoucir un peu sa voix.
- C'est le petit chaperon rouge : je vous apporte une RCIR.."
Le loup lui cria :
"Tire la chevilletten et la bobinette cherra."
Le petit chaperon rouge tira la chevillette et entra sans psychoter.
Se penchant sur le lit de sa grand-mère pour lui parler, elle lui dit :
"Ma mère-grand, que vous avez de grands bras!
- C'est pour mieux t'embrasser, mon enfant.
- Ma mère-grand, que vous avez de grandes jambes!
- C'est pour mieux courir, mon enfant.
- Ma mère-grand, que vous avez de grands yeux!
- C'est pour mieux te voir, mon enfant.
- Ma mère-grand, que vous avez de grandes dents!
- C'est pour mieux te manger, mon enfant!"
En disant ces mots, ce méchant loup se jeta sur le petit chaperon rouge, et la grailla, car il n'avait rien eu a l’ordinaire depuis 10 jours.
Moralité : les jeunes enfants font très mal d'écouter toutes sortes de gens, car qui ne sait que ces loups doucereux, de tous les loups sont les plus dangereux.

J'ai bon ?

presque tout bon, midship! et j'ai bien rigolé!
mais je vais attendre un peu que les autres éminents membres de notre super forum me proposent une traduction, pour vous en donner ma version, qui n'est pas mal non plus.
à pluche!

ben alors, personne d'autre ne veut tenter de traduire le petit chaperon rouge en militaire ? Rémi ? Hervé ? Alex ? Vous qui en avez déjà quelques notions ?

Je planche, je planche !!

Voici la mienne :

LE P’TIT BONNET ROUGE

Ca cause d’une petite P.M.F de brousse chez les kékés. Sa mère lui avait confectionnée un bonnet de type rouge d’où son indentification « p’tit bonnet rouge ».
Un jour après lui avoir confiée sa R.C.I.R, elle lui beugle :
"Va voir la vieille ; donne lui ces R.C.I.R."
Le p’tit bonnet rouge exécute et se rend directe au P.I.F.
Lors de sa croisade, elle croisa le père loup, qui eut bien envie de s’en faire une ration ; mais négatif, pas devant les barbus. Il l’interrogea sur son P.I.F.
La recrue qui a les oreilles bouchées, lui braille :
"Je me rends chez ma vieille car j’ai une cargaison pour elle ».
- A combien de nautique, lui braille le loup.
- Affirmatif, dit le bonnet rouge. Tu vois la direction de mon bras, dans le 180, c’est le point à atteindre.
- Je peux faire partie du convoi ? Toi par là, moi par là, le 1er à gagné."
Le loup bougea ses miches au plus court, et bonnet rouge au plus long, batiffolant dans le pré.
Le loup gagne la course d’orientation et défonce la porte.
"Entrez !! C’est qui ??
- C'est le p’tit bonnet rouge, beugle le loup d’une voix comme si on lui avait marché sur les c…, qui vous apporte les rations."
La bonne vieille, dans sa bannette car exemptée, lui cria :
"Défonce la porte et entre."
Le loup exécuta. Primo, il crapahuta sur la vieille et la bouffa secondo, remis la porte en place, et usurpa la place de la vieille. TOC TOC fit le bonnet rouge.
"Qui c’est ? toujours avec sa voix de t…
C'est le p’tit bonnet rouge, à vos ordres mère grande : j’apporte le R.C.I.R
Le loup beugla :
" Défonce la porte et entre."
Le p’tit bonnet rouge exécuta.
Faisant un redressement de 90° sud, il annonça :
"Ma mère-grand, que vous avez de grands bras!
- C'est pour mieux t'embrasser, mon enfant.
- Ma mère-grand, que vous avez de grandes jambes!
- C'est pour mieux courir, mon enfant.
- Ma mère-grand, que vous avez de grands IL!
- C'est pour mieux te voir, mon enfant.
- Ma mère-grand, que vous avez de grandes dents!
- C'est pour mieux te grailler, mon enfant!"
Tout en blablattant, ce terroriste de loup se jeta sur le p’tit bonnet rouge, et la grailla, car c’est la diette depuis 10 jours de missions.
Objectif : faut arrêter les conneries, retourner sa cervelle et faire ce qu’on dit de faire.

Trop excellent!!
je suis morte de rire!!!

Allez, au suivant, qui sera assez courageux(se) pour relever le défi ?

Fameux aussi, traduit en coï